Je ne suis pas un pro du développement durable. Pas plus un ayatollah de la mobilité douce. Je pourrais me définir comme sportif en nature, grand fan de nos montagnes que je parcours à VTT, en varappeur, à pied ou à ski, à toutes les altitudes.
Ainsi, plus proche de la nature que de la ville, adepte du silence, mais aussi de la performance, je m'intéresse depuis toujours à ce que la mobilité puisse être non invasive et efficace.
Il aura fallu l'approche de la cinquantaine (la mienne) pour que l'industrie arrive à un premier stade de maturité dans le domaine de la mobilité électrique et pour que je fasse le pas.
La suite est le retour d'expérience de l'usage de ce que je considère comme le premier véhicule de série "durable" sur le marcher, la BMW i3.
Ainsi, plus proche de la nature que de la ville, adepte du silence, mais aussi de la performance, je m'intéresse depuis toujours à ce que la mobilité puisse être non invasive et efficace.
Il aura fallu l'approche de la cinquantaine (la mienne) pour que l'industrie arrive à un premier stade de maturité dans le domaine de la mobilité électrique et pour que je fasse le pas.
La suite est le retour d'expérience de l'usage de ce que je considère comme le premier véhicule de série "durable" sur le marcher, la BMW i3.